Nouveaux amis [PV: Mousse des Forêts]

C'est le petit matin, je me lève et je m'étire longuement, mais sans toucher les autres pour ne pas les réveiller, bien entendu. Puis je sort de la Tanière des Guerriers en essayant de ne pas réveiller ces derniers puis je me dirige vers la Pile de Gibier et je me chercher un mulot. Ensuite, je prend le temps de le manger, en jetant un oeil sur le Camp: il n'y avait personne, pas un chien.

"C'est drôlement vide, aujourd'hui. On ne remarquera pas de si tôt mon absence je sors un peu, et personne ne pourra rien me dire si je reviens avec des proies. C'est décidé, je vais aller me balader un peu..."

Me dis-je à moi même. Puis, ayant fini le rongeur, je me mis en route. Je ne savais pas où j'allais, mais j'y allais, de bon matin, et bien décidée. Je marcha longtemps poui j'atteris au Lac du Repos Éternel. Je sauta dans le Lac pour me baigner, puis, savant bien nager, j'atteins vite l'autre rive puis je me dis:

"Je ne sais pas pourquoi il y en a qui se noient là dedans. Ce n'est pas si profond et le courant n'est pas si fort... Il faut dire, aussi, je suis un chien, je suis assez grande et sûrement plus forte qu'un chat... Je suis plus forte qu'un chat. Je n'ai rien contre eux, mais bon, je ne sais pas pourquoi je pense à ça..."

Je sors et je m'ébroue: plein d'eau gicle de mon pelage et j'éclabousse partout aux alentours ! Ensuite, pour me sècher, je monta sur le volcan. Puis, me voyant assez haute et voulant m'amuser, j'aboie assez fort:

-JE SUIS LA REINE DU MONDE !!!

Puis je laisse le vent ébourifer mes longs poils et je regarde le ciel: un beau soleil, aucun mouton et un ciel bleu. Quelle belle journée ! Puis je reste sur mon volcan, je reniffle l'air et je ferme les yeux...

J'étais en pleine patrouille de l'aube. Nous allions rentrer lorsque me vint l'envie de ma balader seule.. Je prévint donc mes compagnons de patrouille et partie vers le centre des territoire, la ou on ne pourrait me punir de trahir le clan.
Je me dirigeais vers le lac du repos éternel. En haut du volcan qui surplombait le lac, j'entendis un aboiement:

-JE SUIS LA REINE DU MONDE !!!

Je leva la tête et vis un magnifique berger blanc suisse qui avait vraiment l'air de s'amuser. Il avait le même pelage blanc que moi.
Je rentrai dans la volcan et m'approcha du bord du lac pour boire un peu. Je faisait très attention de ne pas tomber, les bords étant glissant. Pour plus de prudence, je chercha un endroit assez sec, mais aucun endroit ne convenait, comme si quelque chose avait tous éclabousser en sautant dans le lac. Je soupira en pensant au chien, et je décida de partir a sa rencontre.

Je grimpa donc sur le volcan et glapit avec un tantinet d'amusement dans la voix:

-C'est toi qui a éclabousser tout le pourtour du lac?

-C'est toi qui a éclabousser tout le pourtour du lac?

Quand j'entendis une petite voix me dire ça, je me retournai et je faillis presque tomber: derrière moi se tenait une renarde blanche comme la neige et mon pelage et aux beaux yeux verts. Je lui répondit, toute troublée et gênée:

-Hummm, oui, désolée, j'avais plongé pour me rafraîchir et je me suis ébrouée en sortant...

Puis je repris mon calme et demanda à la nouvelle venue, en la regardant:

-Au fait, moi c'est Éclair de Givre, du Clan du Chien. Et toi, c'est quoi ton nom ? Tu viens d'où ?

Puis je m'assied en essayant de garder mon équilibre sur le bord du volcan qui n'était pas épais, et je ne quitait pas des yeux la renarde, je l'examinait de fond en comble: toute blanche, une grande queue touffue, et de beaux yeux verts. Comme elle me ressemble ! Mais moi, j'ai les yeux bruns ! En tout cas, si elle m'aborde comme ça, moi, une chienne aussi imposante, c'est qu'elle a pas l'air trop timide ! Mais elle a l'air sympathique, je ne sais pas pourquoi... Peut être pourrait-on bien s'entendre ?

-Hummm, oui, désolée, j'avais plongé pour me rafraîchir et je me suis ébrouée en sortant...

Un petit rire secoua mon pelage.Sa voix était belle, et faisait ressortir un caractère gentil et amical.

-Au fait, moi c'est Éclair de Givre, du Clan du Chien. Et toi, c'est quoi ton nom ? Tu viens d'où ?

Ce chien m'intriguait, mais elle avait l'air tellement gentille. Même si elle était fidèle a son clan, comme devait l'être un chien digne de ce nom, elle n'avait pas hésiter a me parler. C'est une qualité que j'aime voir chez des guerrier adverses.

-Mon nom est Mousse des Forêt, du clan du renard. Ton nom te vas drôlement bien! Fis-je remarquer en regardant son beau pelage.

J'aimais beaucoup ses yeux, sans faire attention, je plongea mon regard dedans. Je repris mes esprit. Mes yeux a moi était vert et n'avait rien d'hypnotisant comme les siens.

-Mon nom est Mousse des Forêt, du clan du renard. Ton nom te vas drôlement bien!

Me répondit la renarde au pelage de neige en me regardant. Sur ce coup, je me demandais si c'était bien un compliment que j'avais entendu. Oui ! Elle n'est pas très bavarde, cette renarde, mais comme elle dit bien les choses ! Elle sait faire plaisir et complimenter celui ou celle qui se trouve en face d'elle ! Ah, je la trouve de plus en plus sympa, vraiment ! J'ai essayé de sourire, enfin, ce qui ressemble à un sourire: j'ai découvert mes crocs en découvrant mes babines et j'ai plissé les yeux. Je ne suis pas sûre qu'elle ait compris ce que je fausais mais bon. Et toute contente, je lui ais dit:

-Merci ! Toi aussi ça te va bien, ton nom ! En rapport avec la couleur des yeux, comme la mousse !

Puis, perdant l'équilibre, je lui lança, en me laissant glisser sur la paroi du volcan:

-Je ne sais pas toi mais je ne suis pas trop à l'aise si haute... Je descends !

Une fois arrivée en bas, je bu un peu dans le Lac, puis je me trouva un carré d'herbe fraîche et à l'ombre, sous les arbres, car il faisait de plus en plus chaud. Puis je lança à Mousse des Forêt:

-Tu n'a pas trop chaud, en haut ? Si tu veux, tu peu descendre, j'ai trouvé un bon carré d'herbe !

Puis j'attendis qu'elle se décide à me rejoindre. J'avais tellement envie de discuter ! Moi qui sort souvent, je ne vois jamais personne. Pour une fois que je vois quelqu'un, et en plus qui est sympathique, je ne vais pas me priver !

Elle retroussa ses babines en un drôle de sourire. Je lui souris a mon tour.

-Merci ! Toi aussi ça te va bien, ton nom ! En rapport avec la couleur des yeux, comme la mousse !

Elle dévala le volcan après avoir perdu l'équilibre. et me dit:

-Je ne sais pas toi mais je ne suis pas trop à l'aise si haute... Je descends !

Je la regarda boire l'eau du lac, ses poils brillait aux soleil. Elle alla ensuite se coucher sur un carré d'herbe sous un arbre. Une brise chaude se fit sentir, et je me rendit compte qu'il faisait vraiment très chaud. J'entendis Éclair de givre m'appeler:

-Tu n'a pas trop chaud, en haut ? Si tu veux, tu peu descendre, j'ai trouvé un bon carré d'herbe !

J'acquiesçai et la rejoignit sous l'arbre ou je me coucha, les patte sous mon corps, je ferma les yeux et profita de la fraicheur de l'arbre. Je rouvrit les yeux.

-Cet endroit est idéal, sa fraicheur me rappelle la pouponnière. Dis-je avec le ton de la conversation.

Quelques instants après que j'ai appelé la renarde, celle-ci descendit elle aussi la pente du volcan. Elle se coucha à côté de moi, mit ses pattes sous son corps, ferma les yeux un instant, la brise ébourifant son pelage couleur de neige. Puis elle rouvrit les yeux, et dit:

-Cet endroit est idéal, sa fraicheur me rappelle la pouponnière.

-Hum, c'est vrai...

Lui répondis-je en regardant le ciel et en me rappelant mon passé. Puis je regarda Mousse des Forêts dans les yeux et je décrèta.

-Tu sais, moi je ne viens pas vraiment du Clan du Chien, j'ai été recueillie quand je n'était qu'un Chiot. Je ne sais pas qui sont mes parents, mais une chose est sûre: si je les retrouve, je leur ferai passer l'envie d'abandonner qui que se soit d'autre !

puis j'attendis la réaction de la renarde.

-Hum, c'est vrai...

Elle répondait avec sincérité. Elle regarda le ciel les yeux dans le vide, puis, soudain, elle planta ses yeux dans les miens, je soutins son regard jusqu'à ce qu'elle me dise:

-Tu
sais, moi je ne viens pas vraiment du Clan du Chien, j'ai été recueillie
quand je n'était qu'un Chiot. Je ne sais pas qui sont mes parents, mais
une chose est sûre: si je les retrouve, je leur ferai passer l'envie
d'abandonner qui que se soit d'autre !

Elle me dévoilait son passé comme si nous étions amies depuis des lunes.

-Ca me touche, qui tu te confie a moi. Tu ne pense pas que tu serait née chez des bipède et que se sont eux qui t'ont abandonnés?

-Ca me touche, que tu te confie a moi. Tu ne pense pas que tu serait née chez des bipède et que se sont eux qui t'ont abandonnés?

Cette question me troubla. Peut être que mes parents ne voulaient pas m'abandonner ? Peut être que ce sont les Bipèdes qui les ont obligés ? Je ne m'y retrouve plus... Je ne sais pas... Je ne sais plus grand chose sur mon passé, à part qu'on m'avait trouvée dans la neige en pleine Saison des Feuilles Mortes... Je ne me voyait pas, mais je savais que je faisais une tête bizarre... Puis, je me replongea dans ma rêverie. Je replongea mon regard dans le ciel bleu, sans me soucier de la réaction de la renarde. Je ne me souciait plus de rien, et cette question, me trotait dans la tête:

"Tu ne pense pas que tu serait née chez des bipède et que se sont eux qui t'ont abandonnés?"

Peut être. Mais je ne sais pas... Je ne veux pas savoir ! C'est du passé, et à présent, je suis dans un Clan, comme dans une grande Famille ! Je tourne le dos au passé !
Enfin un peu plus tard, je me souvint que j'était en compagnie de Mousse des Forêt. Je secoua la tête pour sortir de me rêverie, et demanda à Mousse des Forêt:

-Et toi, t'es née dans un Clan ou tu étais sauvage et tu as été recueillie ?

Eclair de givre ne répondis pas tout de suite, elle avait plonger ses yeux dans le ciel. Elle avait l'air préoccupée par ma question. Je n'aurait peut-être pas du...

-Et toi, t'es née dans un Clan ou tu étais sauvage et tu as été recueillie ?

Je sursauta a sa question et regarda ma nouvelle amie.

-Je suis née dans le clan. Tu dois avoir entendue parler de Rubis noir, notre lieutenante? C'est ma sœur.

En pensant a Rubis noir, j'eus comme une boule dans le ventre. Ma sœur était en tout points différente de moi, mais Éclair de Givre me ressemblait, autant dans le caractère que dans le physique. A part ses yeux...

Il n'empêche que son histoire m'intriguait énormément.

Sur ces mots, la renarde me répondit, distinctement:

-Je suis née dans le clan. Tu dois avoir entendue parler de Rubis noir, notre lieutenante? C'est ma sœur.

J'ai d'abord regardé la renarde sous toutes ses coutures, puis j'ai essayé de me rapeler l'aspect de Rubis Noir... Je l'ai peut être déja vue... La Lieutenante du Clan du Renard... Mais elle est différente de Mousse des Forêts et elle me dit que c'est sa soeur ?! Après un petit moment de réflection, je me suis brusquement écriée, toute surprise, sans faire attention si j'avais fait peur à Mousse des Forêts ou non:

-Ta soeur ?! Mais vous n'avez pas du tout le même caractère, comment ça se fait ? Et puis, même pas le même aspect, j'ai envie de dire ! Impossible ! Comment ça se fait ?

Puis je vu la renarde au pelage blanc dans un drôle d'état. Elle avait l'air perdue dans ses pensées, ça m'a inquiétée, sur le coup, alors je lui demanda:

-Ça va, Mousse des Forêts ? Tu as l'air absente...

J'étais dans mes pensée, lorsque j'entendis Eclair de givre m'aboyer au loin:

-Ta soeur ?! Mais vous n'avez pas du tout le même
caractère, comment ça se fait ? Et puis, même pas le même aspect, j'ai
envie de dire ! Impossible ! Comment ça se fait ?

La réaction d'Eclair de givre ne me surpris pas, on nous disait toujours ce genre de phrase quand on affirmait que rubis Noir et moi étions sœurs.

-Ça va, Mousse des Forêts ? Tu as l'air absente...

Je secoua une bonne fois la tête.

-C'est vrai qu'on est différentes, mais pour rien au monde je ne voudrait la perdre, c'est ma sœur, tu comprends? Je me demande quand même comment était mes parent pour qu'on soit aussi différente l'une de l'autre.

Juste après que j'aie posé ma question, la renarde secoua la tête et m'expliqua:

-C'est vrai qu'on est différentes, mais pour rien au monde je ne voudrait la perdre, c'est ma sœur, tu comprends? Je me demande quand même comment était mes parent pour qu'on soit aussi différente l'une de l'autre.

-Oui, oui, je comprends.lui ais-je répondu avec un sourire.Alors comme ça, toi aussi, tu n'a pas connu tes parents ? Moi, j'étais à peine née, qu'on m'avait abandonné...

L'ais-je informé. Puis j'ai rajouté:

-Nous avons vraiment beaucoup de choses en commun, toi et moi. On a la même aparence à part les yeux, et un peu le même passé, nous n'avons pas connu nos parents... sauf que moi, je n'ais pas de soeur !

Puis je lui fis encore un beau sourire, puis je me remis à regarder le bleu du ciel, et j'eut une envie de boire: j'alla au Lac, j'ai bu à ma soif, puis je suis revenue auprès de Mousse des Forêts.

-Oui, oui, je comprends.Alors comme ça, toi aussi, tu n'a pas connu tes parents ? Moi, j'étais à peine née, qu'on m'avait abandonné...

Je n'eut pas le temps de le penser que la chienne dit:

-Nous
avons vraiment beaucoup de choses en commun, toi et moi. On a la même apparence à part les yeux, et un peu le même passé, nous n'avons pas
connu nos parents... sauf que moi, je n'ais pas de soeur !

Elle me souri et alla boire au lac.

-Tu sais, même s'il ne partage pas ton sang, tes camarades de clan sont ta famille, et ça, c'est important! C'est la pensée que je me rappelle chaque fois qu'il m'arrive de me plaindre que je n'ai pas connu mes parents.

Je me leva et m'étira. Puis je regarde l'herbe ondoyer sur le volcan. Je huma l'air et senti une odeur familière. Je m'accroupi sur le sol et attrapa le mulo qui avait essayer de s'enfuir. Je retourna près d'Éclair de givre et posa le rongeur entre ses pattes.

-Tu en veux?

-Tu sais, même s'il ne partage pas ton sang, tes camarades de clan sont ta famille, et ça, c'est important! C'est la pensée que je me rappelle chaque fois qu'il m'arrive de me plaindre que je n'ai pas connu mes parents.

M'expliqua Mousse des Forêts quand je revins me remettre sous l'arbre, après avoir bu à grands coups. Je l'écoutait sans dire un mot.

"Peut être devrais-je faire de même, à,l'avenir ?"

Me dis-je à moi même en m'asseyant sur l'herbe encore toute fraîche.
Puis, la renarde se mit en position d'attaque et sauta dans un buisson. Puis, elle en ressortit aussitôt, un mulot dans la gueule.

-Tu en veux ?

Me proposa-t-elle gentiment en posant le rongeur entre mes pattes.

-Volontiers !lui répondis-je. On partage ? Après tout, c'est toi qu l'a attrappé, il te revient de droit...

Demandais-je en coupant le mulot en deux d'un coup de dents, avec mes puissantes mâchoires.
Puis je commença mon mulot, car j'étais effectivement affamée, en poussant l'autre moitié vers mon amie.

-Par contre,informais-je entre deux bouchées, il faudra enlever l'odeur du rongeur de nous, car si notre Chef sent ça, il va croire qu'on a mangé pendant la chasse, et il ne faut pas espérer s'en sortir comme ça !

-Volontiers ! On partage ? Après tout, c'est toi qu l'a attrappé, il te revient de droit...

Je la regarda mordre dans le morceau. Puis, l'imitant je mordis a belle dent le mien. La chair fondait sous la dent.

-Par contre,Me dis-elle en s'arretant a peine de manger, il faudra enlever l'odeur du rongeur de nous, car si notre Chef sent ça, il va croire qu'on a mangé pendant la chasse, et il ne faut pas espérer s'en sortir comme ça !

Je souris et pensa au savon que pourrait me passer Étoile enflammée.

-Tu as raison, viens, allons chercher de quoi enlever notre odeur!

Je regarda aux alentour, le lac était trop dangereux pour s'y laver, sauf pour Éclair de givre, apparemment. Peut être une crotte de renard, ou de blaireau...

-Tu as raison, viens, allons chercher de quoi enlever notre odeur!

Me répondit Mousse des Forêts après avoir fini sa part. Puis je vis qu'elle regardait aux alentours. Peut être cherchait-elle une crotte de quelque chose pour enlever l'odeur ? Sûrement. Je finis ma part en savourant bien les dernière bouchées, puis, cherchant à mon tour, je ne vis aucune trace de quoi que ce soit. Puis, une idée me vint à l'esprit: si on allait dans le Lac ? Ah, oui, brillant idée, mais Mousse des Forêts était plus petite que moi, et elle riisquait de se noyer. Sur le coup, en ayant bien réfléchit, je lui demanda:

-Si tu veux, tu peux aller dans le Lac avec moi, si tu commence à te noyer, je te repêche ! Ou, si tu veux, tu t'aggrippe bien à mon dos, et tu te lave sur moi ! Si tu tombe, je te ratrapperai ! Non ?

Puis j'attendis patiemment que la renarde au pelage de neige m'approuve ou non.

Lorsque je tourna la tête vers la chienne, elle avait l'air de réfléchir profondément.
Elle regardait le lac.

-Si tu veux, tu peux aller dans le Lac avec moi, si
tu commence à te noyer, je te repêche ! Ou, si tu veux, tu t'aggrippe
bien à mon dos, et tu te lave sur moi ! Si tu tombe, je te ratrapperai !
Non ?

Je la dévisagea.
D'un côté, je pris peur de l'intérieur, l'idée de me mouiller les poils ne me parut guerre séduisante.
D'un autre coté... Plonger dans ce lac serait une expérience nouvelle pour moi.
Je réfléchit, puis décréta:

-Très bien, on s'amusera un peu comme ça. Mais je tiens a essayer seule, d'abord.

Je m'approche du lac et regarda l'eau

-Tu peux le faire! Me dis-je intérieurement.

Puis je n'hésita plus et sauta dans l'eau. Je paniqua quelques seconde et remonta a la surface.

Après une longue réfléxion, Mousse des Forêts décrèta:

-Très bien, on s'amusera un peu comme ça. Mais je tiens a essayer seule, d'abord.

Elle s'approcha de l'eau, la regarda un instant, puis sauta. Instinctivement, je me rua vers le Lac. Je fus d'abord prise de panique, car je ne voyait pas mon amie remonter. Puis, finalement, une petite tête blanche aux grands yeux verts immergea de l'eau. Quel soulagement ! Elle sait nager !

-Bravo, Mousse des Forêts ! Tu as sauté, et tu nages, en plus ! J'ai eut peur et je suis venue. Il n'y a plus de danger, maintenant que je me suis rendue compte que tu savais nager. Attends moi !

Lui dis-je en souriant puis en descendant tout doucement dans l'eau, pour ne pas déstabiliser la renarde. D'abord les pattes avant, puis les pattes arrières et le reste du corps. On essaye de nager en remuant les pattes, et le tour est joué ! Voilà, j'y étais.

-Elle est bonne, non ? L'eau...

Demandais-je à Mousse des Forêts en m'approchant d'elle.

Je nageait, difficilement, mais je m'en sortait. C'était pas si dure en fait, de nager dans ce lac.

-Bravo, Mousse des Forêts ! Tu as sauté, et tu nages,
en plus ! J'ai eut peur et je suis venue. Il n'y a plus de danger,
maintenant que je me suis rendue compte que tu savais nager. Attends moi
!

Me félicita-t-elle. Elle me souris et je lui rendis ce sourire.
Puis elle rentra dans l'eau, j'aurais pensé qu'elle sauterais, mais elle avait fait attention a moi et était rentrer dans l'eau doucement, faisant le moins de remous possible.

-Elle est bonne, non ? L'eau...

Je réfléchis juste un peu, ce qui était inutile. Puis je répondis:

-C'est vrai qu'elle est bonne, juste a la bonne température. Attend, j'essaye un truc.

Sur ces mots, je plongea dans l'eau, retenant ma respiration, et un merveilleux spectacle s'offrit a moi. Des poissons, de couleurs, de tilles et de formes différentes défilait devant mes yeux.
Je remonta a la surface.

-C'est merveilleux, la-dessous!

-C'est vrai qu'elle est bonne, juste a la bonne température. Attend, j'essaye un truc.

Me dit Mousse des Forêts après avoir longuement réfléchis. Puis, sur ces mots, elle plongea dans l'eau, y resta un instant puis remonta. Elle me dit ensuite:

-C'est merveilleux, la-dessous!

C'est vrai, je la crois. Mais j'aimerai bien voir ce qu'il y a en dessous de nous... Puis je plongea à mon tour. Je nagea sous l'eau, puis j'attrappa un poisson. Je remonta près de la renarde toujours avec mon poisson dans la gueule. Je lui montra un moment puis relâcha le pauvre animal qui frétillait dans ma gueule.

-C'est vrai, c'est pas mal...

Lui dis-je. Puis j'expliqua à la renarde blanche ce qu'il y avait comme sorte de poissons dans ce Lac. Puis je lui demanda:

-Tu sais pêcher ?

Elle aqquiesca et plongea a son tour. Elle refit surface un poisson a la gueule avec une facilité déconcertante je regarda la bête frétiller, puis ma nouvelle amie relâcha la bête. Je regarda l'eau.

-C'est vrai, c'est pas mal...

Approuva-t-elle. Elle me nomma ensuite les différents poissons contenu dans ce grand lac, leurs noms aussi différents que les poissons, carpes, truites...
Puis elle me questionna:

-Tu sais pêcher ?

Je hésita, ma seule tentative de pêche remontait a mes débuts d'apprentie et s'était finie dans le marais de notre territoire, je frissonna a ce souvenir.

-J'ai déjà essayer, je ne suis pas douée, pire qu'un blaireau, ironisais-je.

Je me rendis soudain compte que je commençais a avoir du mal a nager, je décida de regagner la rive, ou je m'ébrouai. Je me lissa ensuite les poils en attendant la chienne au regard brun.

Mousse des Forêts hésita un instant, elle avait l'air plongée dans ses souvenirs. Puis elle me répondit finalement:

-J'ai déjà essayer, je ne suis pas douée, pire qu'un blaireau, ironisa la renarde.

Puis elle regagna la rive et s'êbroua. Elle se lissa ensuite les poils. Puis, voyant quelque chose doré briller au fond de l'eau, je refis un dernier plongeon, puis j'alla dénicher cette chose. Un collier, comme les chiens domestique, mais qui brillait. Comme il était beau ! Puis je sortit de l'eau à mon tour, je m'ébroua aussi, mais plus loin pour ne pas éclabousser mon amie. Puis je me rendit près d'elle, mon trophée toujours pendant à ma gueule, je le posa devant Mousse des Forêts puis m'extasia:

-T'as vu comme c'est beau ?! C'est comme un collier de chien domestique, mais plus fin et brillant ! Tu sais ce que c'est ?

Tout a coup elle regarda l'eau, intriguée, et elle plongea. Elle ressortie, avec un drôle d'objet brillant.
Éclair de givre sortit ensuite de l'eau, et s'ébroua un peu plus loin, je compris qu'elle ne voulait pas me mouiller.
Elle s'approcha ensuite de moi, brandissant fièrement son beau trophée brillant.

-T'as vu comme c'est beau ?! C'est comme un collier de chien domestique, mais plus fin et brillant ! Tu sais ce que c'est ?

Je regarda l'objet de plus près et sentit.

-Beurk! ce Truc a beau avoir trainer dans l'eau, il pue le bipède, tu trouve pas.

Tout a coup, je me rappela avoir vu une chose comme celle ci, mais différente.

-Les bipèdes femelle mettent des chose comme ça, mais ils ne sont pas tens en laisse

Mousse des Forêts regarda l'objet de plus près et le sentit.

-Beurk! ce Truc a beau avoir trainer dans l'eau, il pue le bipède, tu trouve pas ?

Me demanda mon amie. Je le mit à terre, le renifla moi aussi et m'en éloigna en me disant:

"Ah, oui, c'est horrible ! J'aimerai le remettre dans l'eau mais c'est si beau !"

Puis je me rapprocha de la renarde au pelage de neige et de mon objet de Bipède. Puis Mousse des Forêts s'écria tout à coup:

-Les bipèdes femelle mettent des chose comme ça, mais ils ne sont pas tenus en laisse.

-Ah, d'accord. Tu veux dire qu'ils mettent ça pour... Faire joli ?

Puis, machinalement, je regarda le ciel. Il commençait à s'assombrir et à se couvrit de moutons noirs. Puis je dit à mon amie, en plongeant dans le Lac, assez loin d'elle:

-Il commence à se se faire tard, et il va peut être pleuvoir ! Je devrai rentrer, car mon Chef se demandera sûrement où je suis ! Je vais aller pêcher un peu, puis chasser aussi, pour ramener du gibier car ça ne se fait pas de rentrer au Camp sans un peu de nourriture. Et j'essayerai de rentrer avant qu'il ne pleuve. Tu devrais faire de même, maintenant que tu es sèche. Alors il faudrait que je te dise au revoir ! Quand se reverra-t-on pour la prochaine fois ?