1er entraînement (PV Nuage de Braise)

Il faisait bon dans ma tanière. Frai mais pas froid. Je n'avais pas hâte de sortir dehors. Et pourtant, aujourd'hui, je devais partir entraîner mon apprenti. Nuage de Braise. Un jeune chien très sympathique. Je n'avais pas eu d'apprenti depuis un moment et le fait d'en avoir un en ce moment me motivait d'avantage. Je me levai et m'étirai. Je baillai avant de sortir de ma tanière. La lumière du jour m'aveugla un moment. Après un petit moment, j'ouvris les yeux et regardai autour de moi. Le Clan était déjà en ébullition. Des guerriers revenaient ou partaient à la chasse. D'autres mangeaient ou partaient entraîner leur apprenti. Bref, la vie suivait son cours. Je marchai avec tranquillité jusqu'à la Tanière des Apprentis. L'endroit où tous les novices passaient leur nuit. Il faisait sombre à l'intérieur. Beaucoup dormait encore. On entendait leur souffle lent et régulier. Il était facile de reconnaître mon jeune élève. C'était le plus grand et le plus gros de tous les chiots présents ici. Il était même plus grand que moi. C'était plutôt étrange et déstabilisant. Je faisais toujours attention à qui je confiais tel ou tel novice. Il ne faudrait pas qu'un Chihuahua se retrouve avec un Dogue Allemand.

Je slalomai les corps des chiens endormis et arrivai vers celui de mon apprenti. Nuage de Braise était son nom. Il était arrivé au Camp il y a peut de temps. Il s'était enfuit de chez ses bipèdes. Pauvre petit. Je le plaignais mais je pense qu'il ne voulait pas de la pitié des autres. Je le remuai d'un coup de museau affectif avant de lui soufflé de me rejoindre. Puis, j'emprunte le chemin inverse que j'ai pris il y a quelques secondes. Quand je me trouve enfin dehors, je respire l'air frai du matin. Cela ne dura pas longtemps. Bientôt il fera chaud et lourd. C'est pour cette raison que beaucoup de mentor amène leur apprenti en entraînement dès le petit matin. Derrière moi, j'entends les pas de Nuage de Braise. Je me retourne et le salut avant de lui faire un signe pour lui indiquer que nous partons en forêt. Quand nous arrivons enfin à notre objectif, je m'assois et le regarde reprendre son souffle.

- Nous allons apprendre à chasser aujourd'hui. Es-tu prêt ?

Cette nuit là, personne ronflaient a par moi. Il faisait ni trop chaud ni trop froid, c'étais le temps idéal. Mais je n'arrivais pas a dormir car demain, sera mon premier entrainement. J'étais très stresser a l'idée que j'allais apprendre quelque chose. Je savais faire pas mal de chose quand même : Je savais un peut près nager, Je sais très peu me battre... Je savais faire très peu de chose complète. Le lendemain matin, je me réveilla plus tôt que d'habitude. J'entendit des bruit de patte taper sur le sol. C'était mon mentor qui venait me chercher pour commencer mon premier entrainement. J'avais hâte. Il sorti de la tanière. Mes grosse patte écrasais les queue des autre chiens, mais ils avaient maintenant l'habitude. Je sorti enfin de la tanière. Mon mentor me fit signe que l'on allais aller dans une forêt. Je ne savais pas quel forêt nous allions visitez. Je repris mon souffle plusieurs fois. Nous sommes enfin arrivez. Mon mentor me dit :

- Nous allons apprendre à chasser aujourd'hui. Es-tu prêt ?

La chasse ? J'adore chasser ! Je m'approcha de mon mentor. Je me passa un coup de langue sur mon museau pour qu'il soit humide. Je lui dit :

- Je suis près pour mon premier entrainement !

Je m'assis et attendis ses ordres.

Mon apprenti s'approche de moi. C'est un gros chiens. Certains disent même qu'il ressemble à un nounours. Son pelage est de plusieurs couleurs. Gris, brun et blanc. Il est vraiment très beau. En plus, son caractère l'avantage. La première nuit qu'il a passé au Camp, il avait déjà plusieurs amis. Surtout un. Nuage de Glace. Ils faisaient toujours tout ensemble. Je n'ai jamais vu une telle amitié chez deux chiens. Il se lèche la truffe avant de m'affirmer qu'il est prêt à commencé son première entraînement. Je lui souris. La chasse est un entraînement que tous les novices apprécies. J'hume l'air et détecte l'odeur d'un gros lièvre. Je montre à Nuage de Braise comment se mettre dans la bonne position. Je baisse mon train arrière et ma queue, plaque mes oreilles contre ma tête et d'un bond agile je saute sur ma proie.

- Tu vois, ce n'est pas très compliqué. A toi maintenant.

Je lui fait signe de la queue qu'une autre proie se cache dans le buisson en face de nous. C'est un gros campagnol. Il fera l'affaire pour une première leçon. Je lui fait signe ensuit que c'est le bon moment pour attaquer. Maintenant, c'est à lui de jouer.

Je regarda de partout pour voir si il n'y avait pas une proie quelque part. Mon mentor me fit signe, il y avait une proie. Il me montra comment on fait pour attraper une proie. Il se mis a rat terre,queue baisser, oreille a terre... Il avança. Il sauta sur la proie et l'acheva d'un coup. Après qu'il se soit relever, il me dit :


- Tu vois, ce n'est pas très compliqué. A toi maintenant.

Pas complique ? Mon mentor est bien moins gros et grand que moi. Moi je suis un Charplaninatz et lui un Berger Allemand. Il y a une grande différence. Si je me baise je risque de marcher sur mes poil. Mon mentor n'en a presque pas lui... Comment je vais faire ? Je n'ai pas envi de le décevoir. Je le regarda dans les yeux. Il me montra un gros campagnol cacher dans un buisson. Je me mis en position de chasse. Je sauta dans le buisson. Mais ? Il n'y a pas de campagnol. Je senti. Il courait dans cette direction. Je le poursuivi. Je m'ésoufflais très vite a cause de mes poil qui me tenais chaud. Je trébucha plusieurs foi mais je ne lachais pas prise. Je sauta sur le gros campagnol. En sautant je trébucha et tomba coucher sur quelque chose. Je résta coucher. Je ne vis plus le campagnol . J'ai cru que j'avais échouer. Je me releva. Quelque chose étais coller sur mon ventre. Je le décrocha. C'étais le campagnol, je l'avais écraser ! Le pauvre, il a due souffrir ou bien il est more sur le coup ! Je le montra a mon mentor. Le campagnol étais plus q'écraser ! J'attendis son commentaire !

Il ne se penche pas. Au lieu de ça, il marche mais il trébuche de temps en temps. Je le regarde silencieusement. Je crois en lui et je sais qu'il ne me décevra pas. Je m'assois et mon regard le suit. Bientôt, il saute maladroitement sur le rongeur. Je ne le vois plus. C'est-il enfuit ? J'hume l'air. Son odeur s'est un peut estompé. Où est-il. Je me lève et court vers mon apprenti qui est toujours couché au sol. Etait-il blessé ? Non, il se lève et le un corps se décroche de son ventre. Je n'arrive pas à en croire mes yeux. Le campagnol ! C'est bien lui. Il l'a écrasé. C'est une technique que je n'avais jamais vu avant. Un sourire se dessine sur mon visage.

- Bien joué ! Tu l'as attrapé et tué. C'est original la façon dont tu lui as sauté dessus. Aucun chien n'a jamais chassé comme ça. Bravo.

Je lui donne un coup de langues affectif sur l'oreille avant de m'asseoir devant lui. Il doit être fier de la capture de sa première proie. Je me rappelle la première fois que j'ai attrapé une animal. C'était avec mon mentor... Je lève la tête au ciel. Il doit être tout là haut. Il me manque tellement. Il nous a quitté bien trop vite. Je retiens mes larmes et repose mon regard sur mon apprenti. Je suis fier d'être son mentor.

J'avais un peut honte d'avoir tuer ma proie comme ça. Il y avais un peut de sang de ma proie coller a mon épais pelage brun fauve. Mon mentor s'approcha. Il avait l'air surpris. J'avais peur qu'il me gronde car cette façon pour tuer une proie était très bizarre. Il s'approcha plus de moi. Il me dit alors :


- Bien joué ! Tu l'as attrapé et tué. C'est original la façon dont tu lui as sauté dessus. Aucun chien n'a jamais chassé comme ça. Bravo.

J'étais soulager, il ne me gronda pas, au contraire il me félicita. J'étais très fière de ma technique de combat. Mon mentor leva la tête pour regarder le ciel. Avait-il perdu quelqu'un de proche ? Il avait les larme au yeux mais il ne pleura pas. Je leva la tête et fixa mon mentor en lui disant :

- Et maintenant, quel exercice allons nous faire ?

J'étais impatient; Je voulais encore de l'action, moi. Je me dit dans ma tête qu'un petit bain dans une flaque d'eau ou dans une rivière ne ferait pas de mal. C'est vrai, quoi. Moi je suis tremper de sang de campagnol.

Le sang du campagnol commancait a sécher sur mon pelage. Il devenais sec et se rétait pas agréable. Le soleil étais très fort aujourd'hui. Il faisait très chaud. Moi, avec mon épais pelage, c'étais dur de suporter. Mon mentor lui aussi souffrait de cete chaleur. Des goutte de sueur tombais de notre corps. Mon mentor me dit :


- Aller, viens. On va se baigner et apprendre à nager et à pêcher.

Super se baigner ! Je vais enfin pouvoir me désaltérer et savoir pêcher et nager. Mes tache de sang de campagnol vont disparaître. Mon mentor coure devant moi. Je trébucha et tomba par terre. Je me releva et me secoua pour enlever la terre qui c'étais coller a mon épais pelage brun fauve. J'entendis un léger "plouf". Ca doit être mon mentor qui a d'eu plonger dans l'eau. J'acceléra. Je plongea dans l'eau. Une énorme vague vint s'échouer sur la rive de la rivière. Mon mentor avait couler pandant un moment. Je remonta a la surfasse. Je ne voyais plus mon mentor. Je plongea sous l'eau. C'étais trop profond pour lui. Je le souleva et le mis a un endroid ou il a pied. Cette rivière étais profonde pour lui mais moins pour moi. Je lui demanda :

- vous allez bien ?

J'attendis sa réponse...

Je le regarde plonger dans l'eau. Il est beaucoup plus lourd que moi et le vague qui se créé à son passage me surprends et m'entraîne au fond de l'eau. Ma patte se coince sous un rocher. Je n'arrive plus à remonter. Je ne savais pas qu'un simple entraînement avec mon apprenti causerait ma mort. J'essaye à tout pris d'enlever ma patte mais impossible. Non, je ne veux pas mourir. Je ne veux pas quitté Nuage de Braise et Ultime Différence. Pas mes deux amis...

Je sens de l'air. J'ouvre les yeux. Je suis toujours dans la rivière, serte, mais au moins j'ai pied. Je regarde un peut autour de moi. Nuage de Braise est encore là. Il me regarde un peut surpris. Je suis autant surpris que lui. Mon coeur bat encore. Je soupire et mon jeune novice me demande :

- Vous allez bien ?

Disons que j'ai connus des jours meilleurs. Mais j'allais bien quand même. Etait-ce lui qui m'avait sauvé ? Oui, de toute façon, il n'y avait que lui ici. Je lui devais donc la vie. Mais s'il n'avait pas été là je ne serais pas coincé... Disons que j'ai une dette envers lui désormais. Je me secoue vivement. Puis je crache le peux d'eau qu'il me reste dans la bouche. Nuage de Braise me vouvois. Je n'aime pas beaucoup ça. Mais bon...

- Je vais bien merci. Et aussi un grand merci de m'avoir sauvé la vie. Je ne te serais jamais assez reconnaissant. Ha, et une autre chose, tu peux me tutoyer.

Mon pauvre mentor avait l'air d'être surpris. J'avais eu très peur croyant qu'il n'allait jamais se réveiller. Je lui laissa reprendre son souffle. Moi, j'étais tremper. Je secoua un peu ma tête pour que je puise voir sans que mes poil tombe sur mes yeux. Il y avais plein de poisson qui passaient a coter de nous. Je renifla l'air. Une odeur de moisis était dans l'air. Certainement un animal mort. Je regarda mon mentor. Il devait encore être sous le choque. Il me dit au bout d'un moment :


- Je vais bien merci. Et aussi un grand merci de m'avoir sauvé la vie. Je ne te serais jamais assez reconnaissant. Ha, et une autre chose, tu peux me tutoyer.

Je suis soulager d'entendre qu'il va bien. Pas besoin d'être autant reconnaissant car il me donne des cours lui. Bah, si il veut que je le tutois c'est comme il veut. Je lui dit :

- Je suis contant que tu sois mieux.

Je senti encore cette odeur de moisis. c'est vraiment désagréable. J'éternua plusieurs fois. Je commença a mettre ma truffe dans l'eau pour que je ne sentent plus l'odeur.

- Je suis contant que tu sois mieux.

Je lui souris. Une drôle d'odeur flotte dans l'air. Je sais de quoi il s'agit mais mon apprenti à l'air d'être plutôt dérangé par cette odeur de moisis. Il plonge sa truffe dans l'eau. Je le regarde avec attention. Je devrais peut-être lui dire de quoi il s'agit. Oui, je le ferais mais un peux plus tard. Je profite de l'eau fraîche de la rivière. Il fait tellement chaud dehors. Je regarde les poissons qui nagent autour de nous. Il serait facile de les attrapés mais je pense que nous n'avons pas le courage pour ça. Nous avons déjà mangé ce matin et nous sommes fatigués par cette chaleur incessante. Le temps passe et je sens que mon apprenti en a marre. Je sors de l'eau et me secoue vivement. Je passe deux trois coups de langues sur mon pelage noir et brun avant de me secouer une seconde fois. Je me lève et fait signe à Nuage de Braise de me suivre. A un endroit de la rivière, le passage est plus étroit. On peux donc la traversé en sautant. C'est se que je fait. Je me recule et court avant de sauter. Mes pattes restent un moment dans les airs avant de toucher le sol. Je regarde mon apprenti, il a l'air de me suivre. Alors, je m'élance dans la petite forêt. L'odeur est de plus en plus forte. J'éternue à plusieurs reprisent. Et puis, je m'arrête et m'assois. Un nid de bousier se trouve juste devant nous. Et des déchets traînent par terre. Ce sont certainement des bipèdes qui les ont jetés et les petits insectes les ont ramenés ici.

- Tu vois, ce sont des bousiers. C'est de là que proviens l'odeur.

Mon mentor me souris. Moi j'avais encore la truffe dans l'eau. Cette odeur était vraiment répugnante... Mon mentor sortit de l'eau. Il secoua son pelage. Il me fit signe de venir moi aussi. Je sortit. Normalement, la terre ou je voulait aller me secouer étais très sèche. Mais lorsque je suis aller dessus, c'étais l'inondation. Je me secoua, plain d'eau giclais. Mon mentor marcha devant moi. Moi, je le suivais. Mon mentor recula et couru vers un trous, il sauta. Je suis gros moi, comment je vais faire ? Je recula bien plus que mon mentor. Je couru et... Et.. Je réussi a m'en sortir même si il y avais pas un trop grand écart entre ma patte et le trou. Je continua a avancer. Le soleil étais fort. Mon mentor, lui, ne devais pas avoir autant chaud que moi. J'ai le pelage beaucoup plus épais que lui. L'odeur de moisis sentais de plus en plus fort. Mais, ou veut aller mon mentor ? Je vis une sorte d'insecte, il étais noir avec une corne. Puis j'en vis plein d'autre. Il y en avais des centaine voir des millier... Sa sentais vraiment mauvais. Mon mentor m'expliqua :

- Tu vois, ce sont des bousiers. C'est de là que proviens l'odeur.

Mais oui ! Je connaît cet insecte. Ces insectes son utile pour la nature, mais sa ne sent pas bon... Il ramasse les déchet des bipède et bien d'autre chose dégoutante... Je dit a mon mentor :

- Je... Je connaît ses insecte. Je ne les aime pas car il sentent mauvais... Mais il sont bien pour la nature... Oh, et comment saviez vous que des bousier nichai là ?

Je m'assis et le regarda en attendant sa réponse

- Je... Je connaît ses insecte. Je ne les aime pas car il sentent mauvais... Mais il sont bien pour la nature... Oh, et comment saviez vous que des bousier nichai là ?

Je regarde mon jeune apprenti. Il recommence à me vouvoyer. Je ne dis rien. Je reste un moment silencieux à regarder les insectes noirs faire leur travaille. Ils sont très utiles pour la nature. Sans eux, je ne sais pas se que nous serions aujourd'hui. Rien, certainement. Ou alors, nous vivrions dans un monde pollué. Nous ne pourrions pas faire un pas sans tomber sur un déchet. Je préfère alors mourir. Les proies ne vivraient plus, les oiseaux ne chanteraient plus, les arbres ne pousseraient plus. ce serait vraiment horrible. L'odeur commence à être pesant. Surtout pour mon novice, j'ai l'impression. Je me lève et me secoue pour enlever les dernières gouttes d'eau de mon pelage et je regarde mon apprenti en lui souriant avant de lui expliquer :

- Cela fait des saison que je vis ici. Je sais où se trouve les nids des animaux de la forêt. Dans quelques lunes, la forêt n'aura plus de secret pour toi. Aller, viens. On rentre. Demain, nous aurons une séance de combat. Repose-toi bien.

Nous marchons en silence jusqu'au Camp. Seul les bruits habituelles de la forêt guide nos pas. Quand nous arrivons, je lui fait signe d'aller manger et se reposer. Je rentre dans ma tanière bien fraîche et mange avec voracité le gros rongeur qu'un apprenti m'a apporté. Et je m'endors.